Observations concernant les récentes critiques et omissions de Joseba Lakarra à propos des recherches d'Hector Iglesias sur la problématique « basco-ibérique » suivies d'une hypothèse inédite concernant l'inscription de Liria (version révisée et actualisée)
Résumé
Joseba Lakarra, un enseignant‑chercheur spécialisé dans la reconstruction de ce qu'on appelle communément dans les cercles initiés le « proto‑basque », a dernièrement, dans un article publié dans la revue savante Oihenart. Cuadernos de Lengua y Literatura, émis des remarques critiques, et disons‑le dès à présent et sans ambages, polémiques au sujet de nos recherches sur la problématique « basco‑ibérique ». Ces observations fort critiques nous paraissent en effet à bien des égards singulières, voire discutables, et nous obligent en conséquence à réagir car elles ne correspondent manifestement pas à la réalité des faits et des seuls faits historiques connus concernant cette question.
Note de l'auteur :
Bien que depuis à peine quelques jours (fin de l'année 2008) les inscriptions en langue basque de Veleia soient « officiellement » considérées comme une falsification, nous avons néanmoins décidé de maintenir le court paragraphe les concernant tel qu'il paraît dans la revue ARSE Boletín anual del centro arqueológico saguntino car de toute façon qu'il s'agisse ou non d'une imposture, cela ne change finalement rien à notre démonstration qui s'appuie principalement sur l'inscription — considérée elle en revanche par toute la communauté savante, et cela depuis toujours, comme étant véritable, bien que certains auteurs préfèrent curieusement la passer sous silence — où apparaît ce fameux individu du début de notre ère appelé IBARRA. A ce jour Lakarra considère que les objets trouvés sur le site sont d'époque romaine, mais pas les inscriptions qu'ils contiennent car toutes les analyses effectuées par plusieurs laboratoires internationaux n'auraient, dit-il, aucune valeur (voir ses déclarations publiées dans le quotidien en langue basque Berria du 26 novembre 2008 où il affirme : « Inork ez du dudan jarri harriak III. mendekoak direnik, baizik eta idazkunak. Karbonoaren frogek ez dute, beraz, eztabaidarako balio, partidu hori irabazia dauka. Ez dago hor gerrarik, inork ez du-eta sekula ukatu markoak benetakoak direnik », soit en langue française : « Personne n'a mis en doute que les pierres [sic, c'est-à-dire les objets trouvés] soient du IIIème siècle, ce sont les inscriptions qui ne le sont pas. Les preuves tirées du carbone [14] n'ont, en conséquence, aucune valeur dans ce débat [linguistique]. La polémique ne porte pas sur la date des objets, personne ne conteste qu'ils soient du début de notre ère. ») ; mais alors, comment et quand ces inscriptions sont-elles arrivées sur ces objets d'époque ? Il s'agit là d'un mystère que personne, pas même Lakarra, ne sait expliquer... car l'honnêteté des archéologues ne semble pas, pour l'instant du moins, remise en cause. Tout cela est une histoire absolument surprenante, sinon extraordinaire dont toutes les conséquences ne sont pas encore connues.
Note de l'auteur :
Bien que depuis à peine quelques jours (fin de l'année 2008) les inscriptions en langue basque de Veleia soient « officiellement » considérées comme une falsification, nous avons néanmoins décidé de maintenir le court paragraphe les concernant tel qu'il paraît dans la revue ARSE Boletín anual del centro arqueológico saguntino car de toute façon qu'il s'agisse ou non d'une imposture, cela ne change finalement rien à notre démonstration qui s'appuie principalement sur l'inscription — considérée elle en revanche par toute la communauté savante, et cela depuis toujours, comme étant véritable, bien que certains auteurs préfèrent curieusement la passer sous silence — où apparaît ce fameux individu du début de notre ère appelé IBARRA. A ce jour Lakarra considère que les objets trouvés sur le site sont d'époque romaine, mais pas les inscriptions qu'ils contiennent car toutes les analyses effectuées par plusieurs laboratoires internationaux n'auraient, dit-il, aucune valeur (voir ses déclarations publiées dans le quotidien en langue basque Berria du 26 novembre 2008 où il affirme : « Inork ez du dudan jarri harriak III. mendekoak direnik, baizik eta idazkunak. Karbonoaren frogek ez dute, beraz, eztabaidarako balio, partidu hori irabazia dauka. Ez dago hor gerrarik, inork ez du-eta sekula ukatu markoak benetakoak direnik », soit en langue française : « Personne n'a mis en doute que les pierres [sic, c'est-à-dire les objets trouvés] soient du IIIème siècle, ce sont les inscriptions qui ne le sont pas. Les preuves tirées du carbone [14] n'ont, en conséquence, aucune valeur dans ce débat [linguistique]. La polémique ne porte pas sur la date des objets, personne ne conteste qu'ils soient du début de notre ère. ») ; mais alors, comment et quand ces inscriptions sont-elles arrivées sur ces objets d'époque ? Il s'agit là d'un mystère que personne, pas même Lakarra, ne sait expliquer... car l'honnêteté des archéologues ne semble pas, pour l'instant du moins, remise en cause. Tout cela est une histoire absolument surprenante, sinon extraordinaire dont toutes les conséquences ne sont pas encore connues.
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