. Dans-un-article-intitulé-"-le-roman, Arles (Aix-en-Provence P30-50V°) : problèmes d'une édition critique Haupt étudie les altérations subies, pour la métrique en particulier, par une compilation manuscrite de pièces occitanes en vers copiée entre 1373 et 1376, Actes du IV Congrès International de l'AEIO, Vitoria-Gasteiz 22-28 août 1993, pp.127-138, 1994.

. Francisque-michel, Le Pays basque, sa population, sa langue etc, pp.263-266, 1857.

L. Version, O. Jaurgaiñian-apparaît-pour-la-première-dans-le-livre-de, and J. De-jaurgain, La tradition au Pays basque, Bayonne 1899, à la rubrique intitulée Quelques légendes poétiques du Pays de Soule, l'auteur s'efforçant, assez maladroitement, de justifier ses explications par " toutes les versions que j'ai recueillies moi-même en Soule et Basse-Navarre " ; mais il était bien tard, sans doute, pour y trouver la " bonne " version. Elle est reproduite sous le titre Atharratzeko ezkongaia dans l, pp.15-16, 1981.

J. De-jaurgain and L. Vasconie, Les seigneurs de Tardets eux-mêmes étaient aussi seigneurs d'Ahaxe (il reste encore les ruines de la tour de leur château fort) par le mariage de l'héritière d'Ahaxe Arnaude avec Guillaume, pp.70-76

. La-lettre-basque-que-charles-de-luxe, une de ses filles est reproduite avec la correspondance basque de la dame d'Urtubie (qui devait être Aimée de Monréal d'Urtubie qui avait épousé le 17 septembre 1574 Jean d'Alzate d'Urtubie son cousin) de la même époque pour les mêmes raisons d'espionnage au profit du roi d'Espagne, par José Manuel Florestán Imizcoz dans Fontes Linguae Vasconum, año XXV Conflictos fronterizos, espionaje y vascuence a finales del siglo XVI : 20 documentos ineditos, Cette lettre avec sa traduction française est reproduite en Annexe I au présent article, pp.177-219, 1993.

'. Aeio, R. De, and . Harvey, signalés ci-dessus dans la note 1 Les contexte des " performances " des troubadours " se réfère au mariage de Constance d'Aragon avec le roi Emeric II de Hongrie en 1198 : le troubadour Peire Vidal aurait suivi la princesse aragonaise , et le troubadour Gaucelm Faidit aurait séjourné déjà lui aussi en Hongrie pour le mariage de Marguerite de France soeur de Philippe-Auguste avec Béla III en 1186. En tout cas la référence à la Hongrie est dans la littérature occitane depuis ce temps-là, et il est assez probable que c'est le point de départ d'une thématique des " mariages hongrois " qui serait passée aussi dans la poésie basque médiévale. 10. Trois strophes, la seconde tronquée, de ce chant médiéval en tercet inégal remontant pour son thème au temps où se faisaient des mariages entre familles seigneuriales navarraises et " m a u r e s " d'Al Andalus, sont rapportées par Oyhénart dans sa lettre dite de L'art poétique basque, Les liens entre les seigneurs pyrénéens et la monarchie hongroise sont historiques mais lointains : dans les Actes du IV Congrès International de l Gure Herria 1967 p. 220. La troisième comme la précédente fait parler la jeune " mal mariée " : Aita nuen salçale Ama diru harçale Anayeric chipiena mairuetaric guençale "Mon père fut le vendeur, ma mère celle qui prit l'argent, le plus petit de mes frères celui qui m'arracha aux Maures, pp.113-125, 1665.

S. E. Paris and T. I. Madrid-au-début-du-xvisiècle-historiettes, Bibliothèque de La Pléiade. 12. Dans les noms de sa dédicace basque de 1666 au marquis de Monein, Tartas aligne, parmi bien des approximations phonétiques dans les noms de lieux, les voyelles finales après consonne : Barcoiçé, Domicigné, Lohitçuné, Amenduçé, Larçeualé..., mais par toujours : Mitrigna (qui est la prononciation d'Aroue pour ce qui est dans toute la Basse-Navarre " Bithirine " et sans doute anciennement, pp.929-965, 1975.

. La-chanson, ou même dû y figurer à l'origine, sont signalées entre parenthèses et par des points de suspension. Graphie basque moderne mais sans modification phonétique, synalèphes marquées entre parenthèses. I Atharratz jauregian bi zitroiñ loratii; Hungariak(o e)rregek batño dii galthatu. Arrapostii(a ii)khen dii eztirela huntii

I. Atharrazko-hiria-da-hiri-ordoki, Ur handi bat badizu alderdi bateti, Erregeren bidia badoa erditi

I. Aitari<b>, -Aita zük saldü naizü biga bat bezala, Bai eta deserritü Hongarian hara; Ama biz(i ü) khen banü aita zü bezala, Ezkunturen nintzan ni Atharratz Salala, IV (Ahizpak Santa-Klarari<B>:) " -Ahizpa jauntz ezazü arrauba berdia, Nik ere jauntziren düt satina xuria

. Ingoiti-hor-heltü-da-zure-senhar-geia, Botzez ütziko düzü zure sorth-etxia (La conversation entre les deux soeurs a pu se poursuivre<B>: voir les strophes 4 et 5 de Sallaberry, avec la visite au " portail

V. Ahizpan<b>, -Ahizpa zuaz(a o)rai salako leihora Iphar ala hegua zer den jakitera; Ipharra balinbada, goraintzi Salari: Et'aldiz ene txerka jin dadila sarri -Aita johanen gira orai elgarreki

. Etxerat-jinen-zira-xangrin-handireki, Bihotza tristetüric begiak büstirik Bai eta zur(e a)lhaba thumban ezarririk (Les incidents survenus après cette menace devaient être évoqués ici par le chant ou, peut-être, récités. Le départ est assimilé à un jour d' enterrement<B>:) VII Atharrazko zeñiak ber-berak dü joiten, peko zaldia urhez da zelatzen, Hanko txipi handiak beltzez dira janzten