«. Le-terme-bel-est-le-prototype-du-terme-moderne-beltz and . Noir, (e)tz, suffixe présent manifestement dans le mot aquitain Belex où le graphème finale -x semble représenter une affriquée, p.69, 1984.

. Luchaire, 1874, Remarques sur les noms?, p.30

«. Lander and L. , La palabra debe haber significado primitivamente 'vagabundo' ; pertenece a una familia de palabras muy extendida en Italia (cfr. ZRPh. XXVI, 584), que en la vecindad de los Pirineos no tiene una representación nutrida ; el franc.-merid. landoro, landrin, 'holgazán', cast. landrero, 'pordiosero que guarda su dinero en el landre' y landre es un 'bolsillo oculto en el vestido'. En realidad la denominación ha pasado del mendigo al bolsilo ? no a la inversa ? ; como también el ital.-sept. gagliofa a gagliofo

L. Le-gascon-anglét, (Palay) ayant également dû jouer son rôle dans l'évolution romane d

H. Lespès-de, Mémoire Sur Bayonne? 1718 Copié Sur l'original, cote ? M

. Luchaire, 1874, Remarques sur les noms?, p.30

L. Gascon?, où l'auteur signale que « par une évolution sûrement récente tout é ancien fermé s'est arrondi en ë [c'est-à-dire, p.119, 1970.

X. Au, . Lac-mouriscot-s-'est-appelé-temporairement-hondarrague, I. Forme-romanisée-du-basque-hondarraga, P. Formation, O. Et et al., A la suite d'une surprenante coïncidence ce nom basque est un quasi hohmophone de l'expression gasconne *Hond-'hraga qui en occitan de Gascogne signifierait « fontaine de fraises » ; cf. Michel Grosclaude, 1992, Dictionnaire? , p. 147, cite le patronyme Laharrague en précisant qu'il ne « s'agit pas artxibo-00346972, version 1 -12, p.55, 2008.

H. 79-iglesias, Le littoral « guipuzcoan » d'après la Chorographia de Pomponius Méla, p.14, 2007.

. Jaupart, Le nom de Bayonne?, étonné par le toponyme ibérique, p.17, 1981.

E. Effet, précise Henri Gavel, d'un « de ces phénomènes de nasalisation auxquels est particulièrement favorable, dans toutes les langues, la proximité d'une labiale, et surtout d'un b » ; b) cette nasalisation peut également avoir existé en occitan de Gascogne et être présente, entre autres, dans le mot gascon cabriole, capirole, « cabriole » qui a pour variantes les formes cambriole, cambirole. Dans ce mot gascon, la nasale -m, qui apparaît devant la labiale, ne peut pas être étymologique puisque le mot cabriole est issu de l'it. capriola, de capriolo, « chevreuil », avec b par influence de cabri et que le mot chevreuil, quant à lui

*. Gibaltà, D. Yibaltà, D. De-maisons, and . Recensés, Yan) ou Gibarta ou *Yibartà avec graphème à (surtout utilisé par Simin Palay) ou a, voire ar = [a] central ou moyen comme dans autà, entà, etc. En revanche, une gasconnisation ancienne, c'est-à-dire remontant au Moyen-Âge, aurait dû probablement avoir pour résultat *Gi-/*Yibautá avec vocalisation de la latérale -l interne et accentuation sur la voyelle finale, accentuation qui aurait empêché l'affaiblissement de cette même voyelle finale -a comme cela aurait artxibo-00346972, version 1 -12, Une gasconnisation, voire de manière plus générale une occitanisation phonétique aurait dû avoir, entre autres, p.71, 2008.

. Été-le-cas-si, Et l'ultérieure réduction de la diphtongue -au-à -o-aurait dû avoir pour résultat en français une forme comme *Yibota ou *Gibota. La langue occitane, parler gascon inclus, étant de nos jours une langue de type paroxytonique, c'est-à-dire « que l'unité lexématique (mot) est fréquemment marquée, sur l'avant-dernière syllabe, d'un accent d'intensité dit tonique), excepté quand il s'agit de mots terminés par une consonne, on est en droit de supposer que cela était également le cas il y a deux ou trois siècles. L'accentuation du toponyme attestée Gibraltar aurait donc dû se faire en gascon sur la dernière syllabe, avec vibrante finale non articulée, Gibraltá(r). L'assourdissement de la sonore initiale ne semble pas être a priori le fait d'une influence occitane comme le laissent supposer les formes citées par Frédéric Mistral : la forme languedocienne Gibarta et les formes romanes (ancien provençal) Gibaltar, Gilbathar, Gibetar ainsi que la forme catalane Gibraltá, pp.25-56, 1927.

. Le-terme-gamarra, cierta correa que sale de la cinchas y se afianza en el freno, es voz bascongada » rapportée par Larramendi, 1995.

. Le, origine latine, existe également en espagnol qui connaît le mot gabarra et également en français, où on a gabare. Palay cite le gascon gabarre, « gros ajonc (ulex europeus, plante) » (op. cit, p.504

. La-meilleure-explication-reste-néanmoins-la-suivante, les francophones ayant toujours eu beaucoup de difficulté à prononcer, encore de nos jours, des mots basques tels que iri (avec -r-faible), ils reproduisent d'ordinaire cette vibrante par l. Il est en effet possible que les ingénieurs de la Marine, à n'en pas douter francophones

&. Dauzat and . Rostaing, Dictionnaire étymologique? , p. 400, supposaient qu'il s'agissait d'un « nom d'homme lat. Liber, ou nom pré-latin, et suff, 1978.

. Rohlfs, « ce nom ne peut se séparer du cognonem Liber attesté en Espagne et en Gaule », ce qui ne paraissait pas convaincre René Lafon, « Noms de lieux d'aspect basque? », p. 130 , qui écrivait : « Mais le passage de e à a s'explique-t-il ? Il n'est donc pas sûr que Libarona et Libaros aient été tirés de mots latins. N'auraient-ils pas été tirés d'un mot pré-indo-européen Libar qui se serait conservé d'autre part sans suffixe dans le toponyme andalou ?, p.242, 1952.