A. Une-Époque-oùantiquité and D. , Garat adopte l'hypothèse phénicienne pour expliquer l'origine des Basques et de leur langue Il fait des habitants de Tyr et de Sidon les fondateurs des premières colonies de la Péninsule ibérique et des Cantabres de l'Antiquité romaine, les héritiers des marins phéniciens ; ensuite, il inscrit les Basques de l'époque moderne, ses contemporains dans cet héritage antique, Cette continuité sans faille constitue le coeur de la démonstration qu'il développe dans ce rapport de 1811 et, selon lui, fonde historiquement sa proposition de créer une nouvelle entité administrative

H. Le and N. , 1394 -1460) : explorateur portugais

G. Vasco-de, 1469-1524) : navigateur portugais qui découvrit la route maritime des Indes par le Cap de Bonne Espérance (Pointe sud de l'Afrique)

C. Christophe, 1451 -1506) : navigateur italien à qui l'on attribue la découverte du continent américain en, 1492.

. Porticci, Italie, proche de Naples qui désigne ici les sites archéologiques des villes d'Herculanum et de Pompéi ensevelies sous une pluie de cendres lors de l'éruption du Vésuve en 79 ap, pp.57-119, 2007.

. Volney, Constantin François de Chasseboeuf -1757-1820), philosophe, philologue et écrivain français

T. Destutt-de, homme politique et philosophe qui théorisa l'apport du mouvement des Idéologues auquel se rattachait Garat dans un ensemble d'ouvrages intitulé Eléments d'Idéologie (1801-1815) au Pays basque pour en étudier la langue. lapurdum XI 10, pp.57-129, 1754.

E. De-polverel, Tableau de la constitution du royaume de Navarre et de ses rapports avec la France, p.1789

A. Chaho, Histoire primitive des Euskariens basques, 1847. lapurdum XI 10, 2007.

D. J. Dans-cette-lettre, Garat signale à Napoléon 1 er qu'il a bien adressé le rapport demandé au Duc de Bassano. Ce document figure dans les annexes de France et Labourd

J. Déposé-entre-les-mains-de-monsieur-le-duc-de-bassano, votre ministre des relations extérieures, le manuscrit d'un ouvrage sur l'Espagne qui, par sa nature

. Cependant, Sire, je ne me flatte guère que vous daignerez en prendre lecture vous-même

. Sire, je crois connaître assez bien et les cantons et les hommes que je voudrais voir réunir sous votre Empire et sous les pavillons de vos flottes ; et ma conviction la plus profonde est qu'en flattant leur gloire passée et en leur offrant l'espérance de la faire renaître dans une gloire nouvelle, Votre Majesté

S. Non, parmi tous les sujets de votre empire formés par vous-même à vous rendre tant d'héroïques services, il n'en est point qui puissent servir aussi efficacement à rendre la soumission de l'Espagne volontaire et l