Nouvelle toponymie basque
Résumé
N/A
La très grande majorité des noms de lieux basques, dans toute la toponymie d'habitat médiévale, noms de pays, communes et hameaux historiques ici commentés ou noms de maisons qui sont exactement de même nature et souvent identiques, s'explique aisément par le lexique du basque historique.
Chaque nom analysé est présenté avec les éléments de départ suivants: en titre le nom officiel suivi du nom d'usage basque, quand celui-ci, au moins orthographiquement, diffère par quelque trait, puis le nom de l'habitant en basque, dans ses versions les plus courantes. Ensuite sont données, sans exhaustivité pour les noms les plus abondamment cités, les formes documentées dans les citations les plus anciennes aujourd'hui connues, pour la forme romane officielle et pour la forme d'usage basque, quoique cette dernière apparaisse peu, ou même pas du tout, dans les textes médiévéaux. C'est à partir de tous ces éléments, compte tenu de l'acceptabilité sémantique en toponymie, que l'analyse des noms de lieux a quelque chance de présenter, sinon toujours la signification véritable, du moins la ou les hypothèses les plus solides. Il arrive, mais très rarement, qu'aucune ne s'impose et que le toponyme reste, selon l'expression usuelle, “obscur”.
Chaque nom analysé est présenté avec les éléments de départ suivants: en titre le nom officiel suivi du nom d'usage basque, quand celui-ci, au moins orthographiquement, diffère par quelque trait, puis le nom de l'habitant en basque, dans ses versions les plus courantes. Ensuite sont données, sans exhaustivité pour les noms les plus abondamment cités, les formes documentées dans les citations les plus anciennes aujourd'hui connues, pour la forme romane officielle et pour la forme d'usage basque, quoique cette dernière apparaisse peu, ou même pas du tout, dans les textes médiévéaux. C'est à partir de tous ces éléments, compte tenu de l'acceptabilité sémantique en toponymie, que l'analyse des noms de lieux a quelque chance de présenter, sinon toujours la signification véritable, du moins la ou les hypothèses les plus solides. Il arrive, mais très rarement, qu'aucune ne s'impose et que le toponyme reste, selon l'expression usuelle, “obscur”.