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. Ibérique-dans-l-'antiquité-paris and J. Untermann, de la Casa Velázquez (Madrid) et de l'Institut d'Etudes ibériques et ibéro-américaines (Bordeaux), Publications du Centre Pierre Paris, Aportaciones al estudio de las lenguas prerromanas del noroeste de la Península Ibérica », in Galicia : da romanidade á xermanización. Problemas históricos e culturais, Actas do encontro científico en homenaxe a Fermín Bouza Brey, pp.367-397, 1901.

. Athénée, D. D. Viii, and . Roussel, ) cite le témoignage de l'historien grec Polybe qui avait voyagé en Espagne au côté de Scipion en 151 av, p.92, 1981.

«. Polybe, ?. Écrit-athénée, and ?. Nous-parle-de-la-lusitanie, Espagne [Hispanie] selon le nom que les Romains donnent aujourd'hui à ce pays ». Le nom de l'Espagne ou Hispania est d'origine inconnue. On pense qu'il viendrait cependant du phénicien î-she-phannîm, « Côte des lapins » (Pline, p.123, 1998.

L. De-nombreux-ouvrages-de-vulgarisation and . Plupart, du temps destinés principalement à l'enseignement de l'histoire du Pays Basque, attribuent en effet systématiquement aux Vascones des descriptions ne les concernant pas en réalité directement. En outre, Joaquín González Echegaray, dans l'un de ses ouvrages destiné principalement aux spécialistes et intitulé Los Cántabros, un peuple qui habitait grosso modo, l'actuelle région de, pp.105-109, 1997.

. Santander and . Cantabri, Or, si cela n'est pas précisé, le lecteur, qui souvent n'a pas accès au texte de Strabon, ne peut pas le savoir Un des seuls et rares passages ? au nombre de trois ou quatre en tout ? de Strabon (Géogr., III, 4, 18), rappelons-le, concernant stricto sensu les Cantabres, et seulement les Cantabres, apparaît dans la troisième partie de son Livre III consacré à l'Ibérie proprement dite. Le passage, célébrissime, est le suivant : « Chez les Cantabres, par exemple, c'est l'époux qui apporte la dot à sa femme, ce sont les filles qui héritent et qui choisissent l'épouse à laquelle destiner leurs frères. Ces coutumes relèvent d'un régime de gynécocratie qu'on ne saurait en aucune manière qualifier de policé, la description que Strabon faisait en réalité des Lusitaniens Ce court passage eut, entre autres, pour conséquence de déchaîner les passions en Pays Basque, encore et surtout au XX e siècle, où on l'attribua aux Basques de l'Antiquité donnant ainsi naissance à un des mythes parmi les plus prisés du nationalisme basque contemporain : le « matriarcalisme basque

L. Eguiberri, que en vasco moderno significa 'cresta, sierro, pico', sin duda como 'peña' en el español antiguo con significado de 'fortaleza, castillo' ; así que Egivarri es Peña Nueva, opuesto al Peña Vieja de los Picos de Europa ». Mais toute la démonstration du maître était également basée sur une leçon erronée, ce qui l'invalide. En outre, Don Ramón M. Pidal croyait également, à l'instar de Humboldt et à tort, que -varri était le basque barri

. Les-cartes-au, 000 qui sont en train de paraître depuis une vingtaine d'années (tout le territoire galicien n'est pas encore couvert) sont supervisées par une commission spéciale (Santamarina constituée de toponymistes galiciens et d'un linguiste de l'Université, nommée par le Gouvernement de Galice qui supervise toutes les opérations étant donné, comme nous l'avions déjà indiqué, qu'en Galice il n'existe pas de bilinguisme galicien-espagnol. En effet, seules les formes galiciennes des toponymes ont une existence légale, les anciennes formes et graphies espagnoles des noms de lieux et de rues n'existant plus d'un point de vue légal d'après la, Loi de Normalisation Linguistique de Galice » de 1983 qui, dans son article premier, stipule que « les toponymes de Galice ont pour forme unique et officielle la forme galicienne, pp.25-246, 1986.

. Moralejo, On a également le village d'Orense appelé Londoño et les hameaux biscaïens appelés Lendoño de Abajo / Beitia et Lendoño de Arriba / Goitia, localité d'Orduña, en basque Urduña, cf. également la montagne andalouse appelée Orduña, 1943 m., située dans la Sierra Arana, à 20 km. au nord-est de Grenade, non loin d'une rivière appelée río Maitena, mais ici il peut s'agir, quoique cela devrait être démontré, de noms donnés après la Reconquête, ce qui ne peut être en revanche le cas en Galice, pp.341-454, 1977.

J. Cependant and . Piel, des formes anciennes du toponyme espagnol Viariz (localité de Viariz, municipalité de Corullón, province de Léon), ce qui ne change rien à l'affaire car il est certain que l'origine du toponyme galicien Beariz est la même, Il existe également deux localités portugaises appelées Viariz (1. district de Baião

C. Curieusement and . Suffixe, dont l'origine celte semble faire l'unanimité, n'est presque pas représenté dans la toponymie galicienne

*. Malpica-de-bergantiños, «. Mal, and . Hauteur, Malpica, le village étant situé sur une presqu'île en forme de colline, une montagne de Lugo et d'Orense s'appelant également Malpique < *Malpico. Le suffixe -ica semble figurer dans le nom de quelques hameaux : Chafarica (Lugo) et Arcabrica (Orense) et peut-être dans le nom du cap appelé Cabo de Nariga (< *Narica) ainsi que sans doute dans les endroits connus sous les noms de Punta de Pelica et Monte de Subica (tous situés dans province de La Corogne) Dans ces noms galiciens, il faut noter l'absence de sonorisation de l'occlusive sourde intervocalique, En théorie pourtant, ces dernières devraient toutes se sonoriser de façon systématique en galicien. L'évolution du nom du village de Lugo appelé Parga est à ce propos significative : Aparraca ou Aparraqua

>. Parraqua and . Párrega, 1178 et Párraga (maison noble et seigneuriale) > Parga (nom actuel)

*. Manifestement-de and . Narica, Mais curieusement cela n'est pas le cas pour les autres

À. Astigis and . Quelque-distance-du-fleuve, Carmo, Obulco ; puis, dans la région où furent vaincus les fils de Pompée

C. Baroja-indique-Également, « La impresión que se tiene a primera vista es de que la romanización de los cántabros fue mayor que la de los astures y la de que éstos conservaron más elementos del antiguo estrato 'vascoide'. Nombres como el de la tribu de los 'gigurri', el de 'Arronidaeci', c. I, 1. II, 2679 y otros personales, etc.) nos acercan al complejo aquitano, 1958.

. Polybe, Histoire universelle consacrée aux guerres hispaniques s'arrêtait à l'année 144 av, Artémidore et Asclépiade de Myrléa